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Chapitre 1798
Il s’est dit :
« Cette femme me prend-elle pour un imbécile ? Si je te donne Lorraine, comment je pourrais l’expliquer à M.
Mathieu ? D’ailleurs, je me fiche de savoir pourquoi tu es là aujourd’hui, puisque tu es avec Lorraine, et pour éviter
tout problème, j’ai à t’emmener avec moi !
Il a ignoré alors les mots de Clélia et a dit directement aux jeunes hommes:
– Vous attachez cette femme et vous l’emmenez avec vous!
En entendant cela, Clélia s’est mise à crier de colère:
Comment osez-vous m’attacher ? Savez-vous qui je suis ?!
Hugo a dit avec dégoût :
–
Je ne veux pas savoir qui tu es, tu diras à Lorraine qui tu es vraiment plus tard quand tu iras avec elle à la
briqueterie pour faire des briques!
Il a terminé, puis a dit aux hommes:
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇt– Baillonnez-les tous les deux !
Clélia a crié à haute voix :
– Ne me touchez pas… Je suis Clé… Ugh…
Avant que Clélia ne puisse prononcer le reste de ses paroles, sa bouche était déjà bâillonnée avec une
serviette.
Après les avoir baillonnées, Hugo a immédiatement dit :
– Mettez-les dans la voiture !
Plusieurs hommes ont immédiatement pris Lorraine et Clélia et sont sortis rapidement, les poussant dans la
voiture.
Hugo a dit alors au propriétaire du salon:
–
Je te conseille de partir au plus vite et de ne pas rester ici.
Le propriétaire du salon a dit :
– Non, j’ai encore du matériel et des meubles que je dois apporter !
Hugo lui a demandé :
C’est tout ce qu’il y a, combien ça peut valoir ?
– Ils ne valent pas grand-chose mais il y en a beaucoup, ils peuvent au moins se vendre pour quelques milliers
d’euros.
Hugo a dit :
Laisse tomber ! Combien de temps dois-tu rester ici pour quelques milliers euros ? Si tu ne parts pas maintenant, tu
perds encore plus ! Je te conseille donc de partir tout de suite ! Une fois que je serai parti, tu dois également sortir
par la porte de derrière !
Le propriétaire du salon a réfléchi attentivement:
Oui… La femme qui est venue voir Lorraine a un compagnon, mais ce compagnon l’attend dehors, maintenant
qu’Hugo l’a emmenée, si cette femme n’apparaît toujour pas, il entrera certainement pour voir ce qui se passe.
En pensant à cela, il a pris une décision, de toute façon, il avait gagné 20 000 euros à Hugo et 5 000 euros à Clélia,
ce qui était déjà beaucoup d’argent, et s’il ne s’enfuyait pas maintenant, il serait inutile de le regretter au cas où il
ne pourrait pas s’enfuir!
Il s’empressait donc de dire à l’employée :
– Va dire au technicien, on emballe des trucs et on part dans cinq minutes!
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmL’employée a hoché la tête:
– Oui!
Bientôt, la camionnette dans laquelle se trouvait Hugo, Lorraine et Clélia attachées, a quitté à toute vitesse le
salon.
Quelques minutes plus tard, le propriétaire du salon s’est éclipsé lui aussi avec son employée et un technicien,
emportant leurs bagages.
À ce moment-là, le garde du corps de Clélia se tenait toujours près de la Rolls-Royce sur le bord de la route,
attendant que Clélia en sorte.
Il était loin de se douter que Clélia serait kidnappée dans ce salon de beauté…
Vingt minutes s’étant écoulées et Clélia n’étant toujours pas sortie, le garde du corps a pris son téléphone portable
pour appeler Clélia.
Pendant ce temps, dans la camionnette qui quittait la ville, Hugo était assis sur la banquette arrière, l’air suffisant,
tandis que Lorraine, attachée, était allongée à ses pieds.
Il a piétiné délibérément le visage de Lorraine avec ses deux pieds et a ricané:
Lorraine, je ne pensais pas que tu serais sous mes pieds!
Lorraine ne pouvait pas parler et ne pouvait que se débattre et gémir à plusieurs reprises.
A ce moment-là, dans le sac de Clélia, son téléphone portable a sonné soudain !
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