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HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3583
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Chapitre 3583

Néanmoins, ce que Rutgers ne savait pas, c’était que maintenant Yoshifusa se trouvait aussi dans une situation un

peu difficile.

Yoshifusa, dès son arrivée à la Cité J, ne cessait de faire des recherches sur l’air, le sol, la poussière et les sources

d’eau de la Cité J avec les autres membres de son équipe, et même il a spécialement pris de l’eau de la rivière, du

lac, du robinet et de source de montagne dans la villa pour les comparer l’une avec l’autre….

Néanmoins, plus loin se portait les recherches, plus il sentait que l’environnement de la Cité J était médiocre.

D’une part, comme la Cité J était presque encerclée par des montagnes, l’air ne pouvait pas y circuler aisément et

cela entraînait naturellement une détérioration de la qualité de l’air. D’autre part, avec la poussée de l’urbanisation

et l’augmentation de la population, l’environnement de la Cité J était déjà surchargé.

Néanmoins, la densité démographique des États-unis était plutôt faible, et surtout comme les États-Unis ne

cessaient de délocaliser leurs industries polluantes dans les autres pays, leur environnement était peu bouleversé.

Vu que l’environnement de la Cité J ne pouvait se comparer avec celui de Washington à divers égards, Yoshifusa

comprenait encore moins pourquoi le Groupe Pan a pu créer un médicament si miraculeux comme le Contrance

dans la Cité J.

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Alors qu’Yoshifusa restait dans une complète perplexité, il a soudain reçu un coup du fil de Rutgers.

Dès que le contact a été établi, Rutgers a demandé :

– Yoshifusa, avez-vous avancé dans vos recherches sur la recette du Contrance?

Yoshifusa s’est hâté de répondre :

Non, il n’y a aucune avancée pour l’instant, M. Rutgers, je te prie de nous donner laisser un peu plus de temps !

Rutgers a dit avec anxiété :

Le temps presse, et vous devez essayer d’avancer plus vite !

Yoshifusa a dit, un peu impuissant:

– M. Rutgers, nous avons analysé la situation environnementale de la Cité J ces jours-ci, mais nous n’avons trouvé

rien de spécial. Les ingrédients médicamenteux que nous avons commandés chez les fournisseurs locaux

arriveront bientôt et nous travaillerons sur la recette du Contrance dans les prochains jours.

Sur ce, Yoshifusa a ajouté:

– En outre, j’ai l’intention d’aller demain à l’usine pharmaceutique du Groupe Pan pour prendre des échantillons

environnementaux, et cela facilitera peut-être notre travail de recherche.

– D’accord, dépêche-toi ! a dit Rutgers, je te prépare à l’avance un avion d’affaires pour que tu puisses retourner à

Washington dès que tu seras parvenu à reproduire le Contrance!

Après avoir confirmé avec Édmond et Gisèle les derniers détails des enchères de la Pilule de Renouveau, Clément a

demandé à Édmond de le conduire au Quartier Glitact.

Sur la route, Clément a reçu un appel de Claude.

Aussitôt le contact établi, Claude a dit respectueusement:

– Maître Clément, beaucoup d’étrangers m’ont donné rendez-vous ces jours-ci.

Mais qui est-ce donc ? a demandé Clément en souriant.

Claude a répondu :

– Certains sont des représentants des entreprises pharmaceutiques qui veulent discuter avec nous du problème de

l’introduction ou de la représentation de notre médicament. D’autres sont des porte-paroles des riches qui veulent

acheter en privé notre médicament, la plupart de ces derniers ont un cancéreux dans la famille et ils disposent de

budgets suffisants.

Sur ce, Claude a ajouté :

– Pour le moment, près de 100 pays ont exprimé leur intention d’introduire le Contrance, et plus de 30 de ces pays

ont envoyé des représentants à la Cité J.

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Clément a dit avec un sourire:

Eh bien, tu rejettes directement les demandes de ces entreprises pharmaceutiques, et quant à ces riches qui

veulent acheter en privé notre médicament, dis-leur simplement que nous n’entendons pas établir ce précédent

pour l’instant.

À ce moment, Claude a repris:

Au fait, James de la FDA m’a également appelé en disant qu’ils veulent bien acheter encore des boîtes de

Contrance, même

si nous augmentons le prix. Maître Clément, nous devons les leur vendre ?

Clément a dit en ricanant:

Bah! Ils devraient se sentir bloqués dans leurs recherches sur la recette du Contrance ! Écoute, Claude, à partir de

maintenant, il nous faut bien garder toutes les pilules de Contrance excepté celles consacrées aux essais cliniques,

et nous les vendrons absolument pas quel que soit le prix proposé!

Claude a aussitôt dit :

– D’accord, Maître Clément, je vais leur répondre tout de suite!