We will always try to update and open chapters as soon as possible every day. Thank you very much, readers, for always following the website!

HOMME INACCESSIBLE

Chapter 4080
  • Background
    Font family
    Font size
    Line hieght
    Full frame
    No line breaks
  • Next Chapter

Chapitre 4080 Le message envoyé semblait avoir été oublié.

+10 Bonus > L'équipe de recueil de l'information de la famille Brunelle a également donné des retours, indiquant que le numéro de téléphone était maintenant hors service et qu'il était impossible de le localiser.

En voyant cela, Maret a compris que ces gens étaient expérimentés, ce qui I’a rendu encore plus nerveux.

Cependant, Ardouin ne lui a pas laissé le temps de douter et a ordonné: - S'ils ont réussi a enlever Alain, ce n'est certainement pas de simples voleurs. Il est probable qu’ils nous surveillent déja en secret. Tu dois te rendre a Brooklyn. Je suis convaincu qu’ils te contacteront une fois que tu seras la-bas.

Maret n'a pas osé refuser et a du accepter a contrecceur.

Bien qu'il soit anxieux car son fils a été enlevé, il espérait pouvoir résoudre le problavec de I'argent ou en dépendant sur les subordonnés de la famille. Il n’était pas prét a risquer sa propre vie.

Follow on NovᴇlEnglish.nᴇt

Mais pour I'instant, il n'avait pas d’autre choix que de suivre les instructions de son pere, d’organiser des personnes et de se préparer a partir.

Peu apres, trois convois ont successivement quitté la résidence de la famille Brunelle.

Parmi eux, deux étaient des équipes de gardes du corps de la famille Brunelle. Dés que les véhicules ont quitté la propriété, ils se sont séparés pour remplir deux missions: protéger discretement le convoi de Maret et attendre les nouvelles de I'équipe de recueil de renseignements.

Dés que le téléphone serait activé et sa position a devraient intervenir immédiatement.

Le convoi de Maret se composait de trois Rolls-Royce blindées suivies de trois Cadillac blindées de taille standard.

Maret lui-mn'a pas pris place dans une Rolls-Royce, mais a préféré s’installer dans la Cadillac du milieu.

Selon lui, si ces gens envisageaient de le cibler, ils pourraient penser qu'il se trouvait dans la Rolls-Royce du milieu.

Ainsi, en cas de probleme, cette voiture attirerait I'attention, renforgant sa sécurité.

Cependant, mavec cette stratégie, en entrant a Brooklyn, Maret ne pouvait pas réprimer une certaine nervosité.

Il y avait une régle aussi universelle que la gravité : plus on posséde d'argent, plus on craint pour sa vie.

Maret ne faisait pas exception.

En tant que héritier principal de la famille Brunelle, Maret se sentait trés mal a I'aise dans cet environnement.

Apres tout, il savait que des incidents meurtriers liés a des iPhone s’étaient déja produits a plusieurs reprises dans ce quartier.

Lorsque le convoi de Maret est arrivé a Brooklyn, il a effectivement attiré I'attention de nombreux jeunes dans la rue.

Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏm

Dans ce quartier, seuls les chefs de gang pouvaient se permettre une Rolls-Royce. Cependant, les plaques d’immatriculation de ces voitures étaient bien connues des membres locaux des gangs, qui pouvaient facilement distinguer les voitures étrangéres.

Certains membres du gang ont eu des pensées malveillantes en voyant le convoi, mais ils sont restés impuissants en voyant que l'autre partie avait six voitures.

C’était alors que Maret a regu un autre SMS dans sa voiture.

Cette fois, le numéro avait été changé a nouveau. Le message disait simplement : [ Rends-toi au motel Walton, au nord de Brooklyn.] Les motels étaient réputés pour étre les hotels les plus bas de gaaux Etats-Unis.

IIs offraient les chambres les moins qualitatives, étaient situés dans les pires endroits, étaient gérés de maniére tres laxiste et présentaient la sécurité la plus médiocre.

Il n’était pas nécessaire de présenter une piéce d’identité pour séjourner dans un motel. Il suffisait de garer sa voiture a I'entrée, de remettre de I'argent au propriétaire a I'intérieur, et on obtenait une clé de chambre sans aucune vérification d’identité.

Le propriétaire, adoptant une idée de « moins on en fait, mieux c'est »>, ne s'intéressait qu’a I'argent et ne se souciait pas de I'identité des clients. Il évitait mde regarder les clients plus de deux fois, de peur de susciter des ennuis.

Ainsi, ces motels étaient souvent fréquentés par des individus peu recommandables tels que des criminels en fuite, des fugitifs, des clients peu scrupuleux et des toxicomanes.