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HOMME INACCESSIBLE

Chapter 759
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Chapitre 759

Après tout, Paul était né dans une famille d’intellectuels de haut niveau, donc il était quelqu’un de très instruit,

contrairement aux autres, qui regardaient Clément d’un autre ceil quand ils entendaient dire que Clément était un

gendre vivant aux dépens de sa belle famille.

Clément quant à lui n’a ressenti aucune gêne. Après tout, il était habitué à ce genre de situation.

À ce moment-là, Paul a dit à nouveau à Clément:

– Au fait, M. Clément, puisque vous connaissez M. Édmond de l’Hôtel de Buckingham, je ne sais pas s’il vous

conviendrait de prendre un peu de votre temps pour me présenter à lui ? Après tout, je viens tout juste de

délocaliser notre cabinet à la Cité J. Il est donc nécessaire pour moi d’étendre activement mon carnet d’adresses

dans cette Cité J, si M. Clément peut m’aider avec cela, alors je vous en serez très reconnaissant

Clément ne voulait pas que Paul sache à quel point sa relation avec Edmond était etroite. Après tout, Paul avait

presque deviné sa relation avec la famille Huet tout à l’heure. Donc si Clément présentait Paul à Édmond, il allait

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peut-être apprendre plus de détails sur la vie de Clément.

Alors Clément a dit en s’excusant à Paul :

– M. Paul, pour dire vrai, je ne suis vraiment pas familier avec M. Edmond, j’ai juste un ami en commun avec lui, et

j’ai honte de le dire, j’ai rencontré cet ami en aidant une personne à vérifier le Fengshui.

– Feng Shui ? Paul a demandé avec surprise, M. Clément, êtes-vous un maître du Feng Shui ?

Clément a souri légèrement et a dit avec indifférence :

– Je ne peux pas prétendre d’être un maître du Feng Shui. J’ai juste lu quelques livres et étudier le Fengshui avec un

vieux maître pendant un moment. Pour dire vrai, ça dépend de la chance.

Kyan, qui était à côté, avait peur que Clément ne soit embarrassé, il a demandé :

– Au fait, Paul, quel est le domaine d’activité de votre cabinet ? Vous l’avez délocalisé depuis les États-Unis, donc

votre cabinet devrait être de très grande envergure, n’est-ce-pas?

Paul a souri légèrement et a dit :

– Oncle Kyan, notre société est en fait un cabinet d’avocats multinational,

fournissant principalement un soutien juridique haut de gamme à certaines des 500 plus grandes entreprises du

monde. Kyan a demandé avec surprise : – Paul, es-tu toi-même avocat?

Paul a hoché la tête et a dit :

– Oui, oncle Kyan, mon père et moi sommes tous les deux avocats. À vrai dire, j’ai hérité de son entreprise.

Kyan a déclaré avec émotion :

– Il semble que les exigences pour être avocat aux États-Unis soient très élevées. Il faut nécessairement un

doctorat n’est ce pas ?

Paul a souri légèrement et a dit :

– Oncle Kyan, vous avez raison, il y a deux professions aux États-Unis qui ont les exigences les plus élevées en

matière de niveau d’instruction, l’une est médecin et l’autre est avocat. En général, un avocat régulièrement inscrit

au barreau doit être au moins en possession d’une maîtrise délivrée par la faculté de droit.

Kyan a hoché légèrement la tête et a demandé à nouveau :

– Alors, quel diplôme as-tu ?

Paul a dit modestement : – J’ai eu mon doctorat à la faculté de droit de l’université de Yale.

Kyan a hoché la tête avec étonnement et a dit :

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– L’Université de Yale, c’est une université de classe mondiale ! C’est vraiment incroyable d’être diplômé de

doctorat dans une telle université !

Paul a dit sérieusement :

– Oncle Kyan, à vrai dire, l’acquisition du diplôme de doctorat n’est que le début de ma carrière d’un bon avocat.

Un vrai bon avocat doit traverser une longue période de croissance, et il faut 10 ans ou même 20 ans d’expérience

professionnelle et des centaines de procès gagnés, donc pour moi, je ne suis qu’un débutant.

En parlant de cela, Paul a regardé sa mère Valentine et a dit :

– En fait, je viens d’obtenir mon diplôme. Si je devais diriger notre propre cabinet d’avocats de manière

indépendante, ma propre expérience ne suffirait pas, alors je ne suis le directeur général de notre cabinet d’avocat

que de nom, mais celle qui m’aide vraiment à faire des plans, mon mentor qui me guide et me conseille dans tous

les problèmes que je rencontre, c’est ma mère, sans son aide, notre cabinet d’avocats ferait probablement faillite

depuis belle lurette.

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